4.1.08

Un 4 janvier à Tokyo


C'est, sans préméditation, monter sur un toit de la ville.

Et boire le oolong du matin face au Mont Fuji.

C'est s'amuser du ruban de la Yamanote qui tourne comme un jouet.

C'est tout ce bleu Ikebukuro qui ressemble à un cadeau.

C'est ce sentiment si fort, si sûr, qui submerge mon coeur et me fait m'écrier :
"Comme je l'aime ce paysage !"

(Et, en guise d'accroche-coeur, une citation de Lawrence Durrell : "Une ville devient un univers lorsqu'on aime un seul de ses habitants.")

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