1.2.08

Lavande, olives et Noël



Comment ai-je pu me croire heureuse jusqu'à présent alors que je ne connaissais pas encore cette région, cette vue sur la montagne et l'église, cette marche dans les collines, le parfum des olives ?



Elle appelle ma chambre une cabine, sa maison un bateau et c'est exactement ça : quand j'écoute Chantal parler, je suis perpétuellement en voyage.



Demain, un nouveau train mais, ce soir, c'est encore ce silence pénétrant, cette vie tranquille et sa précieuse présence.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ca m'emmène en voyage d'imaginer l'eau sous les vagues, une cabine et un bateau dans les oliviers.

Souvenirs de plage en hiver ; au loin mers agitées : « Irving, Madeira, Pazenn, Iroise, ..».

Je le suis des yeux, larmes au vent, cet albatros le cerf-volant ; et trop souvent, parfois à chaque fois, au moment de célébrer, je pense à l’âme des rivages, aux hommes de passage –ces marins sans lavande qui rêvent des oliviers …

Souvenirs des embruns au visage et de vents en hiver ; au loin sans hublot montagnes défenestrées : « Finisterre, Porto, Sao Vicente » !

Ca m'emmène en voyage - bel été - d'imaginer l’eau sous les oliviers.

Pays de Neige.