12.10.08

La fin d'une averse

Un autre jour, c'était moi dans la rue et j'avais levé les yeux. Il y avait une femme, à ma place. Elle ne me regardait pas. Elle regardait ailleurs mais ne paraissait pas distraite.
Il y avait ces mots qui m'étaient venus à l'esprit : "ultra moderne solitude"...

Le café Miyama est idéal pour attendre la fin de la pluie d'un samedi matin.
Depuis le premier étage, je croise quelques regards, à travers des parapluies transparents.
Je ne suis pas seule. Mais obstinément solitaire, ça oui.

1 commentaire:

Agnès a dit…

La belle chanson a couvert les ennuyeuses nouvelles de la radio, merci!