3.9.09

C'est jeudi ! (Ma rentrée littéraire 4 : Le rideau de Milan Kundera)

"La poétique de Flaubert ne déconsidère pas celle de Balzac de même que la découverte du Pôle Nord ne rend pas caduque celle de l'Amérique"

"En 1920, monsieur Engelbert était encore étonné par le bruit des "monstres à explosion"; les générations suivantes l'ont trouvé naturel. Après l'avoir horrifié, rendu malade, le bruit, peu à peu, a remodelé l'homme, par son omniprésence et sa permanence, il a fini par lui inculquer le besoin de bruit et avec cela un tout autre rapport à la nature, au repos, à la joie, à la beauté, à la musique (qui, devenue un fond sonore ininterrompu a perdu son caractère d'art) et même à la parole (qui n'occupe plus, comme jadis la place privilégiée dans ce monde des sons)".

Dans Le rideau, Milan Kundera, n'évoque pas seulement le bruit.
Comme dans la lettre que je poste ICI à Madame Gâ, je ne fais pas allusion exclusivement aux tartes de Mamy.

2 commentaires:

le consul a dit…

oui c'est exactement ça, elle semble toujours si tranquillement heureuse.

Anonyme a dit…

Même si c'est un peu réchauffé, cette rentrée littéraire c'est un peu la nausée non ?

Pays.